MINI occasion
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MINI CABRIOLET F57 Cooper S cabriolet Noir (essence)
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MINI 3 PORTES R56 Cooper D 110ch citadine Bleu (diesel)
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11 600 € 39 000 km 2008 Côte-d'Or (21) -
MINI 3 PORTES R50 Cooper S pack luxe berline Bleu (essence)
7 600 € 85 000 km 2005 Gard (30)
Historique Mini
Avant de devenir une marque à part entière, Mini n'était que le nom d'un modèle vendu sous les marques Austin, Morris, MG, Leyland, Riley et Woleseley. Son histoire commence en 1955, à Birmingham (Royaume-Uni) quand la British Motor Corporation (BMC) décide de lancer un véhicule économique capable de transporter quatre passagers et quelques bagages.
Des trois concepts Mini à l'étude, à l'époque, c'est celui du trio Alec Issigonis, Chris Kingham et Jack Daniels qui est retenu. Leur prototype voit le jour après huit mois d'efforts, fin 1957. Ce premier véhicule, de tout juste 3,05 m de long et 1,36 m de haut, fait appel à un 4 cylindres positionné transversalement sous le capot pour entraîner directement les roues avant via une boîte de vitesses placées sous le moteur.
D'origine Morris Minor, ce bloc de 948 cm3 permet à la Mini, n'affichant guère plus de 620 kg, d'atteindre les 145 km/h. Et ce malgré ses petites roues de 10" favorisant la place dans l'habitacle. Les suspensions de l'engin s'avèrent elles aussi innovantes. Elles font appel à des sphères hydrolastics plus compactes que des ressorts.
Le département sport de BMC, conscient du potentiel sportif des Morris et Austin 850, décide alors d'inscrire six Mini au Rallye Monte Carlo de 1960. Le succès ne viendra qu'en 1964 grâce au préparateur britannique John Cooper et au pilote Rauno Aaltonen.
Dès 1961, il est possible de s'offrir une Mini dans différentes carrosseries allant de la version traditionnelle deux portes à la version break à quatre portes, en passant par une version tricorps (Wolseley Hornet). Malgré sa popularité et ses victoires en compétition, la Mini coûte cher à fabriquer et rapporte peu.
Après la fusion des marques BMC, Standard-Triumph et Rover, en 1968 (pour former le groupe British Leyland), quelques retouches esthétiques sont effectuées sur la Mini. En 1980, sort la Metro, une Mini un peu plus grande chargée de lui succéder.
En 1989, l'Austin Metro devient Rover Metro, puis Rover 100, tandis que la Mini classique revient sur le devant de la scène, en 1991, sous la forme d'une réédition de Mini Cooper suréquipée. Elle terminera sa longue carrière avec une craquante version cabriolet officielle.
En 1994, la marque BMW prend le contrôle de Rover (anciennement Bristish Leyland). A cause des pertes financières du groupe anglais, le constructeur allemand décide de céder Rover et MG à la société britannique Phoenix et Land Rover à l'américain Ford. BMW Group ne conservera que Mini conscient du potentiel énorme de cette marque.
Au début des années 2000, la firme bavaroise lance une nouvelle Mini bien plus grande de 3,69 m (pour respecter les normes de sécurité en vigueur) mais toujours aussi aguichante. Plus habitable, mais dotée d'un coffre toujours aussi étriqué, la New Mini plait. Une déclinaison Cooper S (163 ch) voit le jour en 2002, puis une version cabriolet en 2004.
Depuis une importante refonte technique en 2006, la gamme New Mini est devenue maxi. Elle compte en effet quatre modèles (Coach, Cabriolet, Clubman et Countryman) équipés de motorisations essence ou diesel. Les plus prisés et les plus puissants d'entre eux (211 ch) portent l'écusson JCW, pour John Cooper Works.
Deux nouvelles déclinaisons, Roadster et Paceman, pourraient bientôt faire leur apparition au catalogue en attendant le retour, dans un futur plus lointain, d'une vraie Mini plus mini répondant au joli nom de Rocketman et présentée sous forme de concept au salon de Genève 2011.