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ALFA ROMEO occasion

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  1. ALFA ROMEO SPRINT 1.3L 86ch Quadrifoglio coupé Rouge ALFA ROMEO SPRINT 1.3L 86ch Quadrifoglio coupé Rouge (essence)
    6 000 € 119 000 km 1985 Gard (30)
  2. ALFA ROMEO GIULIA I Nuova Super 1.3 berline Gris clair ALFA ROMEO GIULIA I Nuova Super 1.3 berline Gris clair (essence)
    23 500 € 26 000 km 1976 Rhône (69)
  3. ALFA ROMEO SPIDER Série 3 2.0 cabriolet Gris clair ALFA ROMEO SPIDER Série 3 2.0 cabriolet Gris clair (essence)
    24 990 € 141 255 km 1984 Vaucluse (84)
  4. ALFA ROMEO 156 SPORTWAGON 2.5 V6 break Gris ALFA ROMEO 156 SPORTWAGON 2.5 V6 break Gris (essence)
    10 000 € 102 000 km 2003 Rhône (69)
  5. ALFA ROMEO SZ (ES30) 3.0 V6  coupé ALFA ROMEO SZ (ES30) 3.0 V6 coupé (essence)
    68 000 € 29 700 km 1990 Eure (27)
  6. ALFA ROMEO 4C 1750 Tbi 240ch Spider Standard Edition cabriolet Jaune ALFA ROMEO 4C 1750 Tbi 240ch Spider Standard Edition cabriolet Jaune (essence)
    62 900 € 3 800 km 2016 Jura (39)
  7. ALFA ROMEO GIULIA I 1300 TI (Tipo 105 - Serie 1) berline Beige ALFA ROMEO GIULIA I 1300 TI (Tipo 105 - Serie 1) berline Beige (essence)
    9 900 € 110 000 km 1968 Italie

Historique Alfa Romeo

Si la marque transalpine a vu le jour en 1910 à Milan, elle ne fait partie du groupe Fiat que depuis 1986. Auparavant, Alfa Romeo était la propriété de l'état italien. A l'origine, elle ne s'appelait d'ailleurs que ALFA. (Anonima Lombarda Fabbrica Automobili) traduction de société anonyme lombarde de construction automobile.

Au début du 20ème siècle, l'entrepreneur français Alexandre Darracq, fabriquant de bicyclettes, se tourne vers la construction d'automobiles. En 1906, la Società Italiana Automobili Darracq est créée à Naples. Pour des raisons pratiques, elle est déménagée du sud au nord de l'Italie, à Milan. A cause de sa modeste production, elle passe aux mains d'un groupe d'industriels lombards.

ALFA sort la 24 HP qui, dès 1911, participe à la course automobile de la Targa Florio. A cette époque, l'ingénieur napolitain Nicola Romeo crée aussi sa propre société pour finalement devenir l'actionnaire majoritaire de ALFA. En 1915 apparaît officiellement le nom d'Alfa Romeo. Mais, à cause de la Première Guerre mondiale, la 20-30 HP Torpedo badgée de ce nom ne sort qu'en 1920.

En 1923, le Quadrifoglio verde (trèfle à quatre feuilles), symbole de toutes les activités sportives d'Alfa Romeo, orne les flancs des modèles les plus véloces. Suite à des difficultés financières, la banque d'Italie s'empare de la marque. Tout ne rentre dans l'ordre qu'avec des victoires en compétition et une notoriété internationale grandissante.

A partir de 1929, une branche interne à l'entreprise destinée à la course voit le jour sous le nom de Scuderia Ferrari. Elle est dirigée par un certain Enzo Ferrari. Durant les années 30, Alfa Romeo devient l'une des marques sportives les plus emblématiques avec notamment sa 8C 2300 à compresseur.

La Seconde Guerre mondiale fait des ravages sur les unités de production Alfa Romeo. Celles-ci étaient dédiées à l'approvisionnement de matériel militaire. Après 1945, tout est mis en œuvre pour reconstruire et reprendre la fabrication de moteurs de bateaux, d'avions et même de cuisinières électriques.

Ce n'est qu'en 1950 que la branche automobile Alfa Romeo redevient opérationnelle avec la 1900 et la Giulietta. En 1952, sort même un tout terrain (AR51 Matta). Côté compétition, des pilotes comme Farina ou Fangio font parler d'eux aux volants des Alfa Romeo 158 et 159 de F1. Côté production, une collaboration s'instaure avec des carrossiers comme Zagato, Pininfarina ou Bertone et sa célèbre Alfa Montréal (1970).

En 1972, l'Alfasud inaugure la nouvelle chaîne de production de Pomigliano d'Arco tandis que l'Alfetta se démarque par son 4 cylindres avant pétillant et son système transaxle avec boîte de vitesses accolée au pont arrière. Ce schéma mécanique perdurera jusqu'en 1992 avec la 75, dernière propulsion Alfa Romeo de grande série.

Les modèles 145/146 et 155 marquent le passage à la traction. En 1998, c'est la 156 auréolée du titre de "Voiture de l'année" qui redynamise les ventes d'Alfa Romeo. Ce modèle bénéficie en version V6 GTA d'une boîte robotisée Selespeed avec palettes au volant comme une Formule 1. La 156 turbo-diesel utilise, elle, une injection directe haute pression assez novatrice.

En 2003 sort la grande berline 166 tandis qu'en 2005, la 159 succède à la 156. A la même époque apparaît la Brera descendante du coupé GTV. Le cabriolet GTV, lui, est remplacé par le Spider dès 2006. Mais, c'est en 2007 que la marque Alfa Romeo fait le plus parler d'elle avec le coupé 8C Competizione V8 de 450 ch produit seulement à 500 exemplaires.

Depuis 2008, la marque milanaise a élargi sa gamme avec la citadine MiTo tandis qu'une version découvrable de la 8C Competizione a vu le jour. Produit à 500 exemplaires, ce Spider affiche le tarif le plus élevé (150 000 €) jamais atteint par une Alfa Romeo neuve. En 2010, la nouvelle Giulietta fait son apparition pour prendre le relais de la vénérable 147, sortie en 2000.